NOTE - L'éditeur de ce débogueur s'appelle arm, auparavant c'était allinea
ddt permet de déboguer des codes fortran, C, C++, et ce quelque soit le compilateur utilisé (intel, gnu ou pgi)
Il s’agit d’un outil graphique, vous devrez donc ouvrir une session X11 :
- Vous connecter avec
ssh -X - Si le débit réseau est insuffisant,
ssh -XCpermet d’améliorer la fluidité de l’affichage - Si cela ne suffit pas, utilisez une session graphique
Pour déboguer votre code, vous devez travailler en deux temps :
- compiler son code avec le switch
-get supprimer toutes les options d’optimisation (au minimum, voir autres flags compilateurs). - lancer l’outil
ddt. Nous préconisons d’utiliser le mode ’connect’, très simple d’utilisation, et qui permet de faire tourner le code sur les nœuds tout en lançant l’interface graphique sur la frontale :
Déboguer son code avec ddt en mode connect
Lancer ddt depuis la frontale ou une session graphique (visu)
module load arm/19.1 ddt &
Modifier votre script batch:
Ajouter ddt --connect avant la commande srun (ou mpiexec.hydra ou mpirun) :
module load arm/19.1 ddt --connect srun ...
Démarrage de ddt:
Depuis la fenêtre graphique ddt lancée à l’étape 1, une boite de dialogue va s’ouvrir (attendre quelques secondes).

Configuration:
Une nouvelle fenêtre vous demandant de préciser les caractéristiques de votre code s’ouvre alors. Vous voudrez probablement déboguer la mémoire : dans ce cas cochez la case et pressez sur le bouton indiqué ci-dessous.

Nous vous recommandons de positionner le "Heap Debugging" sur Fast, et de préciser à ddt si le programme est en C, C++ ou fortran, multithreadé ou pas.

Vous êtes maintenant prêt à déboguer !!
